argus

Les projets qui suivent les meilleures pratiques ci-dessous peuvent s'auto-certifier et montrer qu'ils ont obtenu le badge de la Open Source Security Foundation (OpenSSF).

Il n'existe aucun ensemble de pratiques qui garantissent que ce logiciel n'aura jamais de défauts ou de vulnérabilités ; même les méthodes formelles peuvent échouer si les spécifications ou les hypothèses sont fausses. Il n'y a pas non plus de pratiques qui peuvent garantir qu'un projet permettra de maintenir une communauté de développement saine et qui fonctionne bien. Toutefois, suivre les meilleures pratiques peut contribuer à améliorer les résultats des projets. Par exemple, certaines pratiques permettent la revue par plusieurs personnes avant publication, ce qui peut aider à trouver des vulnérabilités techniques difficiles à trouver autrement et à renforcer la confiance et un désir d'interaction répétée entre les développeurs de différentes entreprises. Pour gagner un badge, tous les critères DOIT et NE DOIT PAS doivent être satisfaits, tous les critères DEVRAIT doivent être satisfaits OU non satisfaits avec justification, et tous les critères PROPOSÉ doivent être satisfaits OU non satisfaits (nous voulons au moins qu'ils soient considérés). Si vous voulez entrer un texte de justification pour un commentaire générique, au lieu d'une raison justifiant que la situation est acceptable, commencez le bloc de texte avec '//' suivi d'un espace. Les commentaires sont les bienvenus via le site GitHub en tant que problèmes ou pull requests. Il existe également une liste de diffusion pour discussion générale.

Nous fournissons volontiers l'information dans plusieurs langues, cependant, s'il existe un conflit ou une contradiction entre les traductions, la version anglaise est la version qui fait autorité.
Si c'est votre projet, veuillez indiquer votre statut de badge sur votre page de projet ! Le statut du badge ressemble à ceci : Le niveau de badge pour le projet 11273 est passing Voici comment l'intégrer :
Vous pouvez afficher votre statut de badge en incorporant ceci dans votre fichier markdown :
[![OpenSSF Best Practices](https://www.bestpractices.dev/projects/11273/badge)](https://www.bestpractices.dev/projects/11273)
ou en incorporant ceci dans votre HTML :
<a href="https://www.bestpractices.dev/projects/11273"><img src="https://www.bestpractices.dev/projects/11273/badge"></a>


Ce sont les critères du niveau Basique. Vous pouvez également afficher les critères des niveaux Argent ou Or.

        

 Notions de base 13/13

  • Identification

    Notez que d'autres projets peuvent utiliser le même nom.

    High-performance configuration management library for Go applications with zero-allocation performance, universal format support (JSON, YAML, TOML, HCL, INI, Properties), and an ultra-fast CLI powered by Orpheus & Flash-Flags.

    Quel(s) langage(s) de programmation sont utilisés pour implémenter le projet ?
    S'il y a plus d'un langage, listez-les en tant que valeurs séparées par des virgules (espaces facultatifs) et triez-les du plus au moins utilisé. S'il y a une longue liste, veuillez lister au moins les trois premiers. S'il n'y a pas de langage (par exemple, il s'agit d'un projet uniquement de documentation ou de test), utilisez le caractère unique « - ». Utilisez une capitalisation conventionnelle pour chaque langage, par exemple « JavaScript ».
    La plate-forme commune d'énumération (CPE) est un schéma de dénomination structuré pour les systèmes, les logiciels et les paquetages des technologies de l'information. Il est utilisé dans un certain nombre de systèmes et de bases de données pour signaler des vulnérabilités.
  • Contenu basique du site Web du projet


    Le site du projet DOIT décrire succinctement ce que le logiciel fait (quel problème résout-il ?). [description_good]
    Cela DOIT être dans un langage que les utilisateurs potentiels peuvent comprendre (par exemple, il utilise un jargon minimal).


    Le site Web du projet DOIT fournir des informations sur la façon d'obtenir, de fournir des commentaires (comme des signalements de bogues ou des demandes d'amélioration) et de contribuer au logiciel. [interact]


    L'information sur la façon de contribuer DOIT expliquer le processus de contribution (par exemple, les pull requests sont-ils utilisés ?) (URL requise) [contribution]
    Nous supposons que les projets sur GitHub utilisent les problèmes et les pull requests, sauf indication contraire. Cette information peut être courte, par exemple, en indiquant que le projet utilise les pull requests, un suivi des problèmes ou des messages dans une liste de diffusion (laquelle ?)

    Non-trivial contribution file in repository: https://github.com/agilira/argus/blob/main/CONTRIBUTING.md.



    Les informations sur la façon de contribuer DEVRAIENT inclure les exigences pour des contributions acceptables (par exemple, une référence à toute norme de codage requise). (URL requise) [contribution_requirements]
  • Licence FLOSS

    Sous quelle(s) licence(s) le projet est-il distribué ?
    Utilisez un format d'expression de licence SPDX ; des exemples sont « Apache-2.0 », « BSD-2-Clause », « BSD-3-Clause », « GPL-2.0+ », « LGPL-3.0+ », « MIT » et « (BSD-2-Clause OU Ruby) ». Ne pas inclure des guillemets simples ou doubles.



    Le logiciel produit par le projet DOIT être distribué en tant que FLOSS. [floss_license]
    FLOSS est un logiciel distribué d'une manière qui répond à la Définition de l'Open Source ou à la Définition du Logiciel Libre. Des exemples de ces licences sont CC0, MIT, BSD 2-clause, BSD 3-clause révisée, Apache 2.0, Lesser GNU General Public License (LGPL), et GNU General Public License (GPL). Pour nos besoins, cela signifie que la licence DOIT être : Le logiciel PEUT également être distribué avec d'autres licences (par exemple, « GPLv2 ou propriétaire » est acceptable).

    The MPL-2.0 license is approved by the Open Source Initiative (OSI).



    Il est PROPOSÉ que toute licence requise pour le logiciel produit par le projet soit approuvée par l'Open Source Initiative (OSI). [floss_license_osi]
    L'OSI utilise un processus d'approbation rigoureux pour déterminer quelles licences sont OSS.

    The MPL-2.0 license is approved by the Open Source Initiative (OSI).



    Le projet DOIT afficher la ou les licences de ses résultats dans un emplacement standard dans leur dépôt source. (URL requise) [license_location]
    Une convention est de publier la licence sous la forme d'un fichier à la racine du dépôt appelé LICENSE ou COPYING, qui PEUT être suivi d'une extension telle que « .txt » ou « .md ». Une autre convention est d'avoir un réportoire nommé LICENSES contenant le(s) fichier(s) de licence ; ces fichiers sont généralement nommés comme leur identifiant de licence SPDX suivi d'une extension de fichier appropriée, comme décrit dans la Spécification REUSE. Notez que ce critère est requis uniquement pour le dépôt de sources. Vous n'avez PAS besoin d'inclure le fichier de licence lors de la génération d'un élément à partir du code source (tel qu'un exécutable, un paquet ou un conteneur). Par exemple, lors de la génération d'un paquet R pour le réseau d'archives complet R (CRAN), suivez la procédure standard CRAN : si la licence est une licence standard, utilisez la spécification de standard courte (pour éviter d'installer une autre copie du texte) et listez le fichier LICENSE dans un fichier d'exclusion tel que .Rbuildignore. De même, lors de la création d'un paquet Debian, vous pouvez mettre un lien dans le fichier de copyright vers le fichier de licence dans /usr/share/common-licenses, et exclure le fichier de licence du paquet créé (par exemple, en supprimant le fichier après avoir appelé dh_auto_install). Nous encourageons fortement l'inclusion d'informations de licence lisibles automatiquement dans des formats générés lorsque cela est possible.

    Non-trivial license location file in repository: https://github.com/agilira/argus/blob/main/LICENSE.md.


  • Documentation


    Le projet DOIT fournir une documentation de base pour le logiciel produit par le projet. [documentation_basics]
    Cette documentation doit se trouver dans un certain format (comme le texte ou la vidéo) qui comprend : comment l'installer, comment le démarrer, comment l'utiliser (éventuellement avec un tutoriel à l'aide d'exemples) et comment l'utiliser en toute sécurité (par exemple, quoi faire et ne pas faire) si c'est un sujet approprié pour le logiciel. La documentation de sécurité n'a pas besoin d'être longue. Le projet PEUT utiliser des liens hypertextes vers du matériel hors projet en tant que documentation. Si le projet ne produit pas de logiciel, choisissez « non applicable » (N/A).

    Some documentation basics file contents found.



    Le projet DOIT fournir une documentation de référence qui décrit l'interface externe (entrée et sortie) du logiciel produit par le projet. [documentation_interface]
    La documentation d'une interface externe explique à un utilisateur final ou un développeur comment l'utiliser. Cela inclut son interface de programmation (API) si le logiciel en possède une. S'il s'agit d'une bibliothèque, documentez les principales classes / types et méthodes / fonctions pouvant être appelés. S'il s'agit d'une application Web, définissez son interface URL (souvent son interface REST). S'il s'agit d'une interface de ligne de commande, documentez les paramètres et les options qu'elle supporte. Dans de nombreux cas, il est préférable que la majorité de cette documentation soit générée automatiquement, de sorte que cette documentation reste synchronisée avec le logiciel au fur et à mesure qu'il change, mais cela n'est pas nécessaire. Le projet PEUT utiliser des liens hypertextes vers du matériel hors projet en tant que documentation. La documentation PEUT être générée automatiquement (quand c'est possible, c'est souvent la meilleure façon de le faire). La documentation d'une interface REST peut être générée à l'aide de Swagger / OpenAPI. La documentation de l'interface de code PEUT être générée à l'aide d'outils tels que JSDoc (JavaScript), ESDoc (JavaScript), pydoc (Python), devtools (R), pkgdown (R) et Doxygen (plusieurs). Le simple fait d'avoir des commentaires dans le code source n'est pas suffisant pour satisfaire ce critère ; il doit y avoir un moyen simple de voir l'information sans lire l'intégralité du code source. Si le projet ne produit pas de logiciel, choisissez « non applicable » (N/A).

    YES - The project provides comprehensive reference documentation that describes the external interface (both input and output): Primary documentation: README.md with quick start, API overview, and examples Complete API reference: docs/API.md (736 lines) documenting all public types, methods, parameters, return values, and error codes Remote configuration API: docs/API-REFERENCE.md (416 lines) with detailed function signatures and examples Package documentation: doc.go (328 lines) with architecture overview and integration patterns Additional guides: Architecture, Quick Start, Audit System, Security, and integration documentation in docs/ directory. https://github.com/agilira/argus/blob/main/docs/API.md


  • Autre


    Les sites du projet (site Web, dépôt et URLs de téléchargement) DOIVENT supporter HTTPS en utilisant TLS. [sites_https]
    Cela nécessite que l'URL de la page d'accueil du projet et l'URL du référentiel de contrôle de version commencent par « https: » et non par « http: ». Vous pouvez obtenir des certificats gratuits de Let's Encrypt. Les projets PEUVENT mettre en œuvre ce critère en utilisant (par exemple) des pages GitHub, des pages GitLab ou des pages de projet SourceForge. Si vous prenez en charge HTTP, nous vous invitons à rediriger le trafic HTTP vers HTTPS.

    Given only https: URLs.



    Le projet DOIT avoir un ou plusieurs mécanismes de discussion (y compris les changements et les problèmes proposés) qui peuvent être recherchés, permettent de désigner les messages et les sujets par une URL, permettent aux nouvelles personnes de participer à certaines des discussions et ne nécessitent pas d'installation côté client de logiciels propriétaires. [discussion]
    Parmi les exemples de mécanismes acceptables figurent les listes de diffusion archivées, les problèmes de GitHub et les discussions sur les pull requests, Bugzilla, Mantis et Trac. Les mécanismes de discussion asynchrones (comme IRC) sont acceptables s'ils répondent à ces critères ; assurez-vous qu'il existe un mécanisme d'archivage adressable par URL. Une solution propriétaire en JavaScript, tout en étant découragée, est autorisée.

    GitHub supports discussions on issues and pull requests.



    Le projet DEVRAIT fournir de la documentation en anglais et être en mesure d'accepter les signalements de bogues et les commentaires sur le code en anglais. [english]
    L'anglais est actuellement la langue véhiculaire des technologies informatiques ; l'utilisation de l'anglais augmente le nombre de développeurs et de relecteurs potentiels dans le monde entier. Un projet peut répondre à ce critère même si la langue principale de ses principaux développeurs n'est pas l'anglais.


    Le projet DOIT être maintenu. [maintained]
    Au minimum, le projet doit tenter de répondre aux rapports de problèmes et de vulnérabilités importants. Un projet qui poursuit activement un badge est probablement maintenu. Tous les projets et tous les individus ont des ressources limitées, et les projets typiques doivent rejeter certaines modifications proposées, de sorte que les ressources limitées et les rejets de propositions n'indiquent pas en eux-mêmes un projet non maintenu.

    Lorsqu'un projet sait qu'il ne sera plus maintenu, il doit définir ce critère comme « Non satisfait » et utiliser le(s) mécanisme(s) approprié(s) pour indiquer aux autres qu'il n'est pas maintenu. Par exemple, utiliser « DEPRECATED » comme premier en-tête de son fichier README, ajouter « DEPRECATED » au début de sa page d'accueil, ajouter « DEPRECATED » au début de la description de projet de son dépôt de code, ajouter un badge sans maintenance dans son README et/ou sa page d'accueil, le marquer comme obsolète dans tous les dépôts de paquets (par exemple, npm deprecate), et/ou utiliser le système de marquage du dépôt de code pour l'archiver (par exemple, le paramètre « archive » de GitHub, le marquage « archivé » de GitLab, le statut « lecture seule » de Gerrit ou le statut de projet « abandonné » de SourceForge). Une discussion supplémentaire peut être trouvée ici.


Email Notification Settings If you are the owner of this badge entry and want to disable inactivity reminder emails, please edit your user profile settings. This setting applies to all your projects.
(Avancé) Quels autres utilisateurs ont les droits supplémentaires pour modifier cette soumission de badge? Actuellement : []
La plupart des projets devraient ignorer ce champ. Les soumissions de badge des projets peuvent toujours être modifiées par le propriétaire de la soumission de badge (créateur), les administrateurs de BadgeApp et toute personne qui peut committer dans le dépôt GitHub (s'il est sur GitHub). Si vous souhaitez que quelqu'un d'autre puisse modifier cette soumission de badge et que vous ayez déjà des droits d'édition sur cette soumission de badge de projet, vous pouvez ajouter d'autres utilisateurs avec des droits d'édition. Entrez simplement « + » suivi d'une liste d'entiers d'identifiants utilisateur séparés par des virgules. Ces utilisateurs seront également autorisés à modifier cette soumission de projet. Si vous êtes le propriétaire de la soumission du badge ou un administrateur BadgeApp, vous pouvez supprimer des utilisateurs de cette liste en entrant « - » suivi d'une liste d'entiers d'identifiants utilisateur séparés par des virgules. Nous nous attendons normalement à ce qu'une seule personne édite une soumission de badge spécifique à la fois. Cette application utilise un verrouillage optimiste pour éviter de sauvegarder des données périmées si plusieurs utilisateurs essaient de modifier une soumission de badge simultanément. Si vous avez plusieurs éditeurs, nous vous recommandons d'enregistrer les données de votre soumission de badge de manière incrémentale et régulière (c'est une bonne pratique en général).



 Contrôle des modifications 9/9

  • Dépôt source public sous contrôle de version


    Le projet DOIT avoir un dépôt source sous contrôle de version qui est publiquement lisible et possède une URL. [repo_public]
    L'URL PEUT être identique à l'URL du projet. Le projet PEUT utiliser des branches privées (non publiques) dans des cas spécifiques alors que la modification n'est pas diffusée publiquement (par exemple, pour la correction d'une vulnérabilité avant qu'elle ne soit révélée au public).

    Repository on GitHub, which provides public git repositories with URLs.



    Le dépôt source du projet DOIT suivre les changements apportés, qui a effectué les changements et quand les changements ont été effectués. [repo_track]

    Repository on GitHub, which uses git. git can track the changes, who made them, and when they were made.



    Pour permettre une analyse collaborative, le dépôt source du projet DOIT inclure des versions provisoires pour examen entre versions officielles ; Il NE DOIT PAS inclure que les dernières versions. [repo_interim]
    Les projets PEUVENT choisir d'omettre des versions intermédiaires spécifiques dans leurs dépôts source publics (par exemple, celles qui corrigent des vulnérabilités de sécurité non publiques spécifiques, ne peuvent jamais être rendues publiques ou incluent des éléments qui ne peuvent être légalement publiés et ne sont pas dans la version finale).


    Il est PROPOSÉ qu'un logiciel reconnu de contrôle de version distribué soit utilisé (par exemple, git) pour le dépôt source du projet. [repo_distributed]
    Git n'est pas spécifiquement requis et les projets peuvent utiliser un logiciel de contrôle de version centralisé (comme subversion) avec justification.

    Repository on GitHub, which uses git. git is distributed.


  • Numérotation unique de la version


    Les résultats du projet DOIVENT avoir un identifiant de version unique pour chaque version destinée à être utilisée par les utilisateurs. [version_unique]
    Cela PEUT être satisfait de diverses façons, y compris les identifiants de commit (comme git commit id ou mercure changeset id) ou un numéro de version (y compris les numéros de version qui utilisent la version sémantique ou les systèmes basés sur la date comme YYYYMMDD).

    The project uses semantic versioning: https://github.com/agilira/argus/tags



    Il est PROPOSÉ d'utiliser le format de numérotation de version appelé Versionage Sémantique (SemVer) ou Versionage Calendaire (CalVer). Il est PROPOSÉ que ceux qui utilisent CalVer incluent une valeur de niveau micro. [version_semver]
    Les projets devraient généralement préférer le format attendu par leurs utilisateurs, par exemple, parce que c'est le format normal utilisé par leur écosystème. De nombreux écosystèmes préfèrent SemVer, et SemVer est généralement préféré pour les interfaces de programmation d'applications (API) et les kits de développement logiciel (SDK). CalVer a tendance à être utilisé par des projets de grande envergure, ayant un nombre inhabituellement élevé de dépendances développées indépendamment, ayant une portée en constante évolution ou étant sensibles au temps. Il est PROPOSÉ que ceux qui utilisent CalVer incluent une valeur de niveau micro, car l'inclusion d'un niveau micro prend en charge les branches maintenues simultanément chaque fois que cela devient nécessaire. D'autres formats de numérotation de version peuvent être utilisés, y compris les ID de commit git ou les ID de jeu de modifications mercurial, à condition qu'ils identifient de manière unique les versions. Cependant, certaines alternatives (telles que les ID de commit git) peuvent poser des problèmes en tant qu'identificateurs de version, car les utilisateurs peuvent ne pas être en mesure de déterminer facilement s'ils sont à jour. Le format de l'ID de version peut être sans importance pour l'identification des versions logicielles si tous les destinataires n'exécutent que la dernière version (par exemple, il s'agit du code d'un site Web ou d'un service Internet unique qui est constamment mis à jour par livraison continue).


    Il est PROPOSÉ que les projets identifient chaque version dans leur système de contrôle de version. Par exemple, il est PROPOSÉ que ceux qui utilisent git identifient chaque version à l'aide des tags de git. [version_tags]
  • Notes de version


    Le projet DOIT fournir, avec chaque distribution, des notes de version qui sont un résumé lisible par les humains des changements majeurs dans cette version afin d'aider les utilisateurs à déterminer s'ils doivent se mettre à niveau et quel sera l'impact de la mise à niveau. Les notes de version NE DOIVENT PAS être la sortie brute d'un journal de contrôle de version (par exemple, les résultats de la commande « git log » ne sont pas des notes de version). Les projets dont les résultats ne sont pas destinés à être réutilisés dans plusieurs emplacements (tels que le logiciel pour un site Web ou un service unique) ET qui utilisent la livraison continue PEUVENT sélectionner « N/A ». (URL requise) [release_notes]
    Les notes de version PEUVENT être mises en œuvre de différentes façons. De nombreux projets les fournissent dans un fichier nommé « NEWS », « CHANGELOG » ou « ChangeLog », éventuellement avec des extensions telles que « .txt », « .md » ou « .html ». Historiquement, le terme « journal des modifications » signifiait un enregistrement de chaque changement, mais pour répondre à ces critères, il faut un résumé lisible par un humain. Les notes de version PEUVENT être fournies à la place par des mécanismes de système de contrôle de version tels que le GitHub Releases workflow.

    The project provides comprehensive, human-readable release notes for each release: URL: https://github.com/agilira/argus/releases Release notes structure: Detailed changelogs: Each version has structured changelog in changelog/vX.X.X.txt with sections: Overview, New Features, Updated Components, Security Fixes, Performance Impact, Migration Guide Not raw git log: Release notes are carefully curated human-readable summaries organized by feature category Upgrade guidance: Each release includes migration guides, performance impact analysis, breaking changes (if any), and deployment recommendations GitHub Releases: Automated release workflow creates GitHub releases with installation instructions, CLI usage, verification steps, and links to detailed changelogs Security information: Security-relevant changes clearly documented with CWE references and mitigation guidance



    Les notes de version DOIVENT identifier toutes les vulnérabilités connues du public corrigées dans cette version qui avaient déjà une affectation CVE ou similaire lors de la création de la version. Ce critère peut être marqué comme non applicable (N/A) si les utilisateurs ne peuvent pas en général mettre à jour le logiciel eux-mêmes (par exemple, comme c'est souvent le cas pour les mises à jour du noyau). Ce critère s'applique uniquement aux résultats du projet, pas à ses dépendances. S'il n'y a pas de notes de version ou qu'il n'y a pas eu de vulnérabilité publiquement connue, choisissez N/A. [release_notes_vulns]
    Ce critère aide les utilisateurs à déterminer si une mise à jour donnée corrigera une vulnérabilité connue publiquement, pour aider les utilisateurs à prendre une décision éclairée concernant la mise à jour. Si les utilisateurs ne peuvent généralement pas mettre à jour le logiciel eux-mêmes sur leur ordinateur, mais doivent à la place dépendre d'un ou plusieurs intermédiaires pour effectuer la mise à niveau (comme c'est souvent le cas pour un noyau et un logiciel de bas niveau associé à un noyau), le projet peut choisir « non applicable » (N/A) à la place, car ces informations supplémentaires ne seront pas utiles à ces utilisateurs. De même, un projet peut choisir N/A si tous les destinataires n'exécutent que la dernière version (par exemple, il s'agit du code d'un site Web ou d'un service Internet unique qui est constamment mis à jour par livraison continue). Ce critère s'applique uniquement aux résultats du projet, pas à ses dépendances. Énumérer les vulnérabilités de toutes les dépendances transitives d'un projet devient ingérable à mesure que les dépendances augmentent et varient, et n'est pas nécessaire car les outils qui examinent et suivent les dépendances peuvent le faire de manière plus évolutive.

    The project has never had any publicly known run-time vulnerabilities with CVE assignments. The security improvements documented in release notes (e.g., v1.0.2) are proactive security hardenings addressing CWE categories (CWE-22, CWE-400), not fixes for publicly disclosed CVEs that existed prior to those releases. Since there have been no publicly known vulnerabilities with CVE assignments, this criterion is marked as N/A as specified in the requirements.


 Compte-rendu 8/8

  • Procédure de signalement des bogues


    Le projet DOIT fournir un processus permettant aux utilisateurs de soumettre des signalements de bogue (par exemple, en utilisant un suivi des problèmes ou une liste de diffusion). (URL requise) [report_process]

    Le projet DEVRAIT utiliser un suivi des problèmes pour le suivi des problèmes individuels. [report_tracker]

    The project uses GitHub Issues for tracking individual issues URL: https://github.com/agilira/argus/issues Evidence: The CONTRIBUTING.md file explicitly instructs users to "open an issue on our GitHub repository" for bug reports (line 15) and feature requests (line 26) Structured bug reporting process is documented with required information (Go version, OS, reproduction steps, logs) GitHub Issues is the official issue tracker referenced in project documentation Pull requests reference related issues as part of the contribution workflow



    Le projet DOIT confirmer une majorité des signalements de bogues soumis au cours des 2 à 12 derniers mois (inclus) ; la réponse ne doit pas nécessairement inclure une correction. [report_responses]

    The project has a documented process for handling bug reports (CONTRIBUTING.md) and has no unacknowledged public bug reports in the last 2-12 months. The project employs proactive security testing through red team analysis (argus_security_test.go with 986+ lines of comprehensive security tests) that identifies and fixes issues before they become public bug reports. Security vulnerabilities documented in v1.0.2 changelog (CWE-22, CWE-400) were found through internal red team review and fixed proactively, demonstrating even stronger security practices than reactive bug report handling. No public bug reports have been left unacknowledged.



    Le projet DEVRAIT répondre à une majorité (>50%) des demandes d'amélioration au cours des 2 à 12 derniers mois (inclus). [enhancement_responses]
    La réponse PEUT être « non » ou une discussion sur ses mérites. Le but est simplement qu'il y ait une réponse à certaines demandes, ce qui indique que le projet est toujours en vie. Aux fins de ce critère, les projets ne doivent pas compter les fausses demandes (par exemple, provenant de spammeurs ou de systèmes automatisés). Si un projet ne fait plus d'améliorations, sélectionnez « non satisfait » et incluez l'URL qui rend cette situation claire pour les utilisateurs. Si un projet tend à être submergé par le nombre de demandes d'amélioration, sélectionnez « non satisfait » et expliquez.

    The project demonstrates highly active development with 81 commits over the last 14 months and 3 major releases in the past 2 months (v1.0.0, v1.0.1, v1.0.2). The project is primarily driven by an internal roadmap with continuous enhancements. Major feature additions include: ultra-fast config binding system (v1.0.1), comprehensive security hardening (v1.0.2), SQLite audit backend, remote configuration management, and graceful shutdown capabilities. With no public enhancement requests left unaddressed and continuous proactive feature development, the project exceeds the >50% response requirement. Development activity shows consistent improvement with ~6 commits per month, demonstrating sustained maintenance and enhancement.



    Le projet DOIT avoir une archive publique pour les signalements et les réponses pour une recherche ultérieure. (URL requise) [report_archive]

    https://github.com/agilira/argus/issues Additional URLs: Pull Requests archive: https://github.com/agilira/argus/pulls Commit history: https://github.com/agilira/argus/commits Description: The project uses GitHub as its public archive for all reports and responses. GitHub Issues provides a permanently accessible, searchable archive of all bug reports, feature requests, and discussions. GitHub Pull Requests maintains the complete history of code reviews and implementation discussions. All content is: Publicly accessible without authentication required for reading Permanently archived with persistent URLs for each issue/PR Fully searchable with GitHub's advanced search capabilities Indexed by search engines for external discovery Time-stamped with complete audit trail of all interactions The CONTRIBUTING.md file explicitly directs users to this archive system for bug reports and enhancements.


  • Processus de signalement de vulnérabilité


    Le projet DOIT publier le processus de signalement des vulnérabilités sur le site du projet. (URL requise) [vulnerability_report_process]
    Les projets hébergés sur GitHub DEVRAIENT envisager d'activer le signalement privé d'une vulnérabilité de sécurité . Les projets sur GitLab DEVRAIENT envisager d'utiliser sa capacité à signaler une vulnérabilité en privé . Les projets PEUVENT identifier une adresse postale sur https://PROJECTSITE/security, souvent sous la forme security@example.org. Ce processus de rapport de vulnérabilité PEUT être le même que son processus de rapport de bogue. Les rapports de vulnérabilité PEUVENT toujours être publics, mais de nombreux projets ont un mécanisme de rapport de vulnérabilité privé.

    Si les signalements de vulnérabilités privés sont pris en charge, le projet DOIT inclure la façon d'envoyer l'information de manière confidentielle. (URL requise) [vulnerability_report_private]
    Des exemples incluent un signalement de défaut privé envoyé sur le Web en utilisant HTTPS (TLS) ou un courrier électronique chiffré à l'aide d'OpenPGP. Si les signalements de vulnérabilités sont toujours publics (donc il n'y a jamais de signalements de vulnérabilités privés), choisissez « non applicable » (N/A).

    Le temps de réponse initial du projet pour tout signalement de vulnérabilité reçu au cours des 6 derniers mois DOIT être inférieur ou égal à 14 jours. [vulnerability_report_response]
    S'il n'y a pas eu de vulnérabilité signalée au cours des 6 derniers mois, choisissez « non applicable » (N/A).

    No public vulnerability reports have been received in the last 6 months. The project has a documented vulnerability reporting process via SECURITY.md (security@agilira.com). The project demonstrates excellent proactive security response capabilities with internal security testing and rapid fixes: Red team security testing: Comprehensive security test suite (argus_security_test.go, 986+ lines) identifies vulnerabilities proactively before public disclosure Rapid fix response: Security issues found internally are fixed within 48 hours (e.g., race condition fix 29 Sep, goroutine leak fix 1 Oct, panic fix 28 Sep) Security hardening v1.0.2: Proactive implementation of 7-layer security validation, DoS protection, and CWE-22/CWE-400 mitigations No unaddressed reports: Zero public vulnerability reports left unacknowledged The project's proactive security approach and <48 hour internal response time far exceeds the 14-day requirement for external vulnerability reports.


 Qualité 13/13

  • Système de construction opérationnel


    Si le logiciel produit par le projet nécessite d'être construit pour être utilisé, le projet DOIT fournir un système de construction fonctionnel qui peut reconstruire automatiquement le logiciel à partir du code source. [build]
    Un système de construction détermine quelles actions doivent se produire pour reconstruire le logiciel (et dans quel ordre), puis exécute ces étapes. Par exemple, il peut invoquer un compilateur pour compiler le code source. Si un exécutable est créé à partir du code source, il doit être possible de modifier le code source du projet, puis de générer un exécutable mis à jour avec ces modifications. Si le logiciel produit par le projet dépend de bibliothèques externes, le système de construction n'a pas besoin de construire ces bibliothèques externes. S'il n'est pas nécessaire de construire quoi que ce soit pour utiliser le logiciel après la modification de son code source, sélectionnez « non applicable » (N/A).

    Non-trivial build file in repository: https://github.com/agilira/argus/blob/main/Makefile.



    Il est PROPOSÉ d'utiliser des outils courants pour la construction du logiciel. [build_common_tools]
    Par exemple, Maven, Ant, cmake, autotools, make, rake (Ruby) ou devtools (R).

    Non-trivial build file in repository: https://github.com/agilira/argus/blob/main/Makefile.



    Le projet DEVRAIT être constructible en utilisant uniquement des outils FLOSS. [build_floss_tools]

  • Suite de tests automatisée


    Le projet DOIT utiliser au moins une suite de tests automatisée publiée publiquement comme FLOSS (cette suite de tests peut être maintenue sous la forme d'un projet FLOSS distinct). Le projet DOIT clairement montrer ou documenter comment exécuter la ou les suites de tests (par exemple, via un script d'intégration continue (CI) ou via la documentation dans des fichiers tels que BUILD.md, README.md ou CONTRIBUTING.md). [test]
    Le projet PEUT utiliser plusieurs suites de tests automatisées (par exemple, une qui s'exécute rapidement, par rapport à une autre qui est plus approfondie, mais nécessite un équipement spécial). De nombreuses plate-formes de tests et environnements de tests sont disponibles, tels que Selenium (automatisation de navigateur Web), Junit (JVM, Java), RUnit (R), testthat (R).

    Automated test suite: 46 test files covering unit tests, integration tests, security tests, fuzz tests, and benchmarks. All tests are released as FLOSS under MPL-2.0 license (https://github.com/agilira/argus/tree/main) Documentation for running tests: README.md (line 129-132): Documents benchmark reproduction with go test -bench=. -benchmem CONTRIBUTING.md (lines 45-48): Explicitly instructs contributors to run go test ./... and requires all tests to pass Makefile (166 lines): Comprehensive test commands including make test, make race, make coverage, make bench, make fuzz, make security, make check, and make ci Makefile.ps1: Windows PowerShell version of Makefile for cross-platform support Build scripts: build.sh and build.ps1 for automated builds Continuous Integration: GitHub Actions CI/CD pipeline (.github/workflows/ci.yml) automatically runs: go test -race -timeout 5m -v ./... (with race detection) Coverage reporting to Codecov Security scanning with gosec Multi-platform builds (Ubuntu, Windows, macOS) Public accessibility: All test code, CI configuration, and documentation are publicly accessible at https://github.com/agilira/argus Test coverage: 87.7% overall, CLI: 77.5%



    Une suite de tests DEVRAIT être invocable d'une manière standard pour ce langage. [test_invocation]
    Par exemple, « make check », « mvn test » ou « rake test » (Ruby).


    Il est PROPOSÉ que la suite de tests couvre la plupart (ou idéalement toutes) les branches du code, les champs de saisie et les fonctionnalités. [test_most]


    Il est PROPOSÉ que le projet utilise une intégration continue (où le code nouveau ou modifié est fréquemment intégré dans un dépôt de code central et des tests automatisés sont exécutés sur le résultat). [test_continuous_integration]

  • Nouveau test de fonctionnalité


    Le projet DOIT avoir une politique générale (formelle ou non) qui spécifie que, dès qu'une nouvelle fonctionnalité majeure est ajoutée au logiciel produit par le projet, des tests de cette fonctionnalité devraient être ajoutés à une suite de tests automatisée. [test_policy]
    Dès qu'une politique est en place, même par le bouche à oreille, qui spécifie que les développeurs devraient ajouter des tests à une suite de tests automatisée pour toute nouvelle fonctionnalité importante, sélectionnez « Atteint ».


    Le projet DOIT avoir la preuve que la politique de test pour l'ajout de tests a été respectée dans les dernières modifications majeures apportées au logiciel produit par le projet. [tests_are_added]
    Les principales fonctionnalités sont généralement mentionnées dans les notes de version. La perfection n'est pas nécessaire, il suffit de prouver que les tests sont généralement ajoutés en pratique à la suite de tests automatisée lorsque de nouvelles fonctionnalités majeures sont ajoutées au logiciel produit par le projet.


    Il est PROPOSÉ que cette politique sur l'ajout de tests (voir la politique de test) soit documentée dans les instructions pour les propositions de modification. [tests_documented_added]
    Cependant, même une règle informelle est acceptable tant que les tests sont ajoutés dans la pratique.

  • Options d'avertissement


    Le projet DOIT activer une ou plusieurs options d'avertissement du compilateur, un mode du langage « sûr » ou utiliser un outil « linter » séparé pour rechercher des erreurs de qualité de code ou des erreurs simples courantes, s'il existe au moins un outil FLOSS qui peut implémenter ce critère dans le langage sélectionné. [warnings]
    Des exemples d'options d'avertissement du compilateur incluent « -Wall » pour gcc/clang. Des exemples d'un mode de langage « sûr » incluent « use strict » en JavaScript et « use warnings » de perl5. Un outil « linter » distinct est simplement un outil qui examine le code source pour rechercher des erreurs de qualité de code ou des erreurs simples courantes. Ceux-ci sont généralement activés par le code source ou par les instructions de construction.


    Le projet DOIT résoudre les avertissements. [warnings_fixed]
    Ce sont les avertissements identifiés par la mise en œuvre du critère warnings. Le projet doit corriger les avertissements ou les marquer dans le code source comme faux positifs. Idéalement, il n'y aurait pas d'avertissement, mais un projet PEUT accepter certains avertissements (généralement moins de 1 avertissement pour 100 lignes ou moins de 10 avertissements).


    Il est PROPOSÉ que les projets soient maximalement stricts avec les avertissements dans le logiciel produit par le projet, quand cela est approprié. [warnings_strict]
    Certains avertissements ne peuvent être efficacement activés sur certains projets. Ce qui est nécessaire est la preuve que le projet s'efforce d'activer les options d'avertissements où il peut, de sorte que les erreurs soient détectées tôt.

 Sécurité 16/16

  • Connaissance du développement sécurisé


    Le projet DOIT avoir au moins un développeur principal qui sait comment concevoir un logiciel sécurisé. (Voir les « détails » pour les exigences exactes.) [know_secure_design]
    Cela nécessite de comprendre les principes de conception suivants, y compris les 8 principes de Saltzer et Schroeder :
    • économie de moyens (maintenez la conception aussi simple et petite que pratique, par exemple en adoptant des simplifications conséquentes)
    • valeurs sûres par défaut (les décisions d'accès par défaut devraient être de refuser l'accès et l'installation des projets devrait être sécurisée par défaut)
    • médiation complète (tous les accès qui pourraient être limités doivent être vérifiés pour l'autorité et ne pas être contournables)
    • conception ouverte (les mécanismes de sécurité ne doivent pas dépendre de l'ignorance par l'attaquant de sa conception, mais plutôt d'informations plus facilement protégées et modifiées comme des clés et des mots de passe)
    • séparation des privilèges (idéalement, l'accès aux objets importants devrait dépendre de plus d'une condition, de sorte que la défaillance d'un système de protection n'autorisera pas l'accès complet. Par exemple, l'authentification multi-facteurs, comme l'exigence d'un mot de passe et d'un jeton matériel, est plus forte qu'une authentification à un seul facteur)
    • principe de plus faible privilège (les processus doivent fonctionner avec le minimum de privilège requis)
    • mécanisme de partage minimal (la conception devrait minimiser les mécanismes communs à plus d'un utilisateur et nécessaires à tous les utilisateurs, par exemple, les répertoires pour les fichiers temporaires)
    • acceptabilité psychologique (l'interface humaine doit être conçue pour faciliter l'utilisation - la conception pour « l'étonnement minimal » peut aider)
    • surface d'attaque limitée (la surface d'attaque - l'ensemble des différents points où un attaquant peut essayer d'entrer ou d'extraire des données - devrait être limitée)
    • validation d'entrée avec des listes blanches (les entrées devraient généralement être vérifiées pour déterminer si elles sont valides avant qu'elles ne soient acceptées ; cette validation devrait utiliser des listes blanches (qui n'acceptent que des bonnes valeurs connues), et non des listes noires (qui tentent de répertorier les valeurs mauvaises connues)).
    Un « développeur principal » dans un projet est celui qui connaît la base de code du projet, est à l'aise pour faire des modifications et est reconnu comme tel par la plupart des autres participants au projet. Un développeur principal a effectué généralement un certain nombre de contributions au cours de l'année écoulée (du code, de la documentation ou des réponses aux questions). Des développeurs sont généralement considérés comme des développeurs principaux s'ils ont lancé le projet (et n'ont pas quitté le projet il y a plus de trois ans), ont la possibilité de recevoir des informations sur un canal privé de déclaration de vulnérabilités (s'il y en a un), peuvent accepter des contributions au nom du projet, ou effectuer les distributions finales du logiciel du projet. S'il n'y a qu'un seul développeur, cette personne est le développeur principal. De nombreux livres et cours sont disponibles pour vous aider à comprendre comment développer des logiciels plus sûrs et pour discuter de leur conception. Par exemple, le cours Bases du développement logiciel sécurisé est un ensemble gratuit de trois cours qui expliquent comment développer des logiciels plus sûrs (il est possible de le suivre gratuitement comme auditeur ; il est aussi possible de payer pour obtenir un certificat prouvant que vous avez compris les enseignements du cours).


    Au moins l'un des principaux développeurs du projet DOIT connaître les types courants d'erreurs qui conduisent à des vulnérabilités dans ce genre de logiciel, ainsi qu'au moins une méthode pour contrer ou atténuer chacun d'eux. [know_common_errors]
    Des exemples (selon le type de logiciel) incluent l'injection SQL, l'injection OS, le débordement mémoire classique, le cross-site scripting, l'authentification manquante et l'autorisation manquante. Voir CWE/SANS top 25 ou OWASP Top 10 pour les listes couramment utilisées. De nombreux livres et cours sont disponibles pour vous aider à comprendre comment développer des logiciels plus sûrs et discuter des erreurs courantes de mise en œuvre qui conduisent à des vulnérabilités. Par exemple, le cours Bases du développement logiciel sécurisé est un ensemble gratuit de trois cours qui expliquent comment développer des logiciels plus sûrs (gratuitement ; vous pouvez payer pour obtenir un certificat démontrant que vous avez assimilé le matériel présenté).

  • Utiliser de bonnes pratiques de base de cryptographie

    Notez que certains logiciels n'ont pas besoin d'utiliser des mécanismes cryptographiques. Si votre projet produit un logiciel qui (1) inclut ou active la fonctionnalité de chiffrement, et (2) peut être publié des États-Unis (US) vers l'extérieur des États-Unis ou vers un citoyen autre qu'américain, vous pouvez être légalement obligé à faire quelques étapes supplémentaires. En règle générale, cela implique simplement l'envoi d'un email. Pour plus d'informations, consultez la section sur le chiffrement de Comprendre la technologie Open Source et les contrôles à l'exportation américains .

    Le logiciel produit par le projet DOIT utiliser, par défaut, uniquement les protocoles cryptographiques et les algorithmes publiés publiquement et revus par des experts (si des protocoles et algorithmes cryptographiques sont utilisés). [crypto_published]
    Ces critères cryptographiques ne s'appliquent pas toujours car certains logiciels n'ont pas besoin d'utiliser directement de capacités cryptographiques.

    The project uses only publicly published and expert-reviewed cryptographic protocols and algorithms: SHA-256 for tamper detection: Used in the audit system (audit.go, lines 272-279) for generating cryptographic checksums. SHA-256 is part of the SHA-2 family standardized by NIST FIPS 180-4 and ISO/IEC 10118-3:2004, widely reviewed and approved by cryptographic experts worldwide. TLS/HTTPS for secure transport: Used for remote configuration connections (remote_config.go, TLSConfig field). TLS is standardized by RFC 8446 (TLS 1.3) and maintained by the IETF, representing the industry-standard secure communication protocol. Go standard crypto library: All cryptographic operations use Go's standard crypto/sha256 package, which is open source, publicly reviewed, and follows NIST/FIPS standards. No proprietary or non-standard cryptographic algorithms are used. All cryptographic functionality is: Publicly published in international standards Reviewed and approved by cryptographic experts Implemented using well-established open source libraries Documented in changelogs (v1.0.0, v1.0.2) with explicit mention of SHA-256 usage Performance impact: <1% overhead for SHA-256 checksum generation (changelog v1.0.0)



    Si le logiciel produit par le projet est une application ou une bibliothèque, et si son objectif principal n'est pas d'implémenter de la cryptographie, alors il DEVRAIT simplement appeler un logiciel spécialement conçu pour implémenter des fonctions cryptographiques ; il ne DEVRAIT PAS ré-implémenter les siennes. [crypto_call]


    Toutes les fonctionnalités du logiciel produit par le projet qui dépendent de la cryptographie DOIVENT être réalisables à l'aide de FLOSS. [crypto_floss]

    All cryptographic functionality in Argus is implementable using Free/Libre and Open Source Software (FLOSS): SHA-256 implementation: Uses Go's standard library crypto/sha256 package, which is 100% FLOSS (BSD-3-Clause license). Source code publicly available at https://github.com/golang/go TLS/SSL implementation: Uses Go's standard library crypto/tls package for secure remote configuration connections. Fully open source with BSD-3-Clause license. No proprietary dependencies: All project dependencies (go.mod) are FLOSS: github.com/mattn/go-sqlite3 (MIT License - FLOSS) All AGILira dependencies are open source on GitHub Zero proprietary or closed-source cryptographic libraries Project license: Argus itself is licensed under Mozilla Public License 2.0 (MPL-2.0), which is FSF and OSI approved FLOSS license Verification: Complete audit of go.mod shows zero proprietary cryptographic dependencies. All cryptographic operations use Go's standard library, which is publicly auditable, peer-reviewed, and completely open source. Cryptographic stack is 100% FLOSS from top to bottom.



    Les mécanismes de sécurité dans le logiciel produit par le projet DOIVENT utiliser des longueurs de clés par défaut qui satisfont au moins aux exigences minimales du NIST jusqu'à l'année 2030 (comme indiqué en 2012). Il DOIT être possible de configurer le logiciel afin que les plus petites longueurs de clés soient complètement désactivées. [crypto_keylength]
    Ces longueurs de bit minimales sont : pour une clé symétrique 112, pour un modulo de factorisation 2048, pour une clé de logarithme discret 224, pour un groupe du logarithmique discret 2048, pour une courbe elliptique 224 et pour un hachage 224 (le hachage de mot de passe n'est pas couvert par cette longueur de bit, plus d'informations sur le hachage de mot de passe peuvent être trouvées dans le critère crypto_password_storage). Voir https://www.keylength.com pour une comparaison des recommandations sur les longueurs de clés de diverses organisations. Le logiciel PEUT permettre de plus petites longueurs de clés dans certaines configurations (idéalement non, car cela permet des attaques de dégradation, mais des longueurs de clés plus courtes sont parfois nécessaires pour l'interopérabilité).

    All security mechanisms in Argus use default key lengths that meet or exceed NIST minimum requirements through 2030 (as stated in NIST SP 800-57): SHA-256 (256-bit): Used for audit tamper detection (audit.go). NIST 2030 requirement: ≥224 bits. Argus uses 256 bits, exceeding requirements by 32 bits. SHA-256 is considered secure well beyond 2030. TLS for remote configuration: Uses Go standard library crypto/tls with secure defaults (Go 1.18+): Minimum TLS version: 1.2 (default) Default cipher suites use ≥128-bit keys (exceeds NIST 112-bit requirement) TLS 1.3 with 256-bit ciphers preferred when available Weak cipher suites are disabled by default in Go's crypto/tls SQLite for audit storage: Does not handle cryptographic operations (data storage only). Security provided at filesystem level. Configuration to disable smaller key lengths: Argus does NOT configure TLS explicitly, relying on Go's secure defaults. This means: Weak cipher suites are already disabled by Go's crypto/tls TLS versions < 1.2 are rejected by default Key lengths < 128 bits are not accepted No user-facing configuration options exist that could weaken security Code verification: grep search confirms zero custom TLS configurations, ensuring Go's secure defaults are always active. All cryptographic operations use Go standard library (BSD-licensed) with NIST-compliant implementations. Security beyond 2030: SHA-256 and TLS 1.3 are expected to remain secure well beyond 2030, with SHA-256 estimated secure until 2050+ according to current cryptanalysis.



    Les mécanismes de sécurité par défaut dans le logiciel produit par le projet NE DOIVENT PAS dépendre d'algorithmes cryptographiques cassés (par exemple, MD4, MD5, DES unique, RC4, Dual_EC_DRBG) ou utiliser des modes de chiffrement inappropriés dans le contexte, sauf si ils sont nécessaires pour implémenter un protocole d'interopérabilité (où le protocole implémenté est la version la plus récente du standard supporté largement par l'écosystème du réseau, l'écosystème requiert l'utilisation de cet algorithme ou mode, et cet écosystème n'offre pas d'alternative plus sûre). La documentation DOIT décrire tous les risques de sécurité appropriés et les parades connues si ces algorithmes ou modes cassés sont nécessaires pour un protocole d'interopérabilité. [crypto_working]
    Le mode ECB n'est presque jamais approprié car il révèle des blocs identiques dans le texte chiffré, comme le montre le pingouin ECB, et le mode CTR est souvent inapproprié car il n'effectue pas d'authentification et provoque des doublons si l'état d'entrée est dupliqué. Dans de nombreux cas, il est préférable de choisir un mode d'algorithme de chiffrement de bloc conçu pour combiner le secret et l'authentification, par exemple Galois/Counter Mode (GCM) et EAX. Les projets PEUVENT permettre aux utilisateurs d'activer les mécanismes cassés (par exemple pendant la configuration) si nécessaire pour la compatibilité, mais les utilisateurs savent alors qu'ils le font.

    The default security mechanisms in Argus do NOT depend on broken cryptographic algorithms: Complete code audit performed: Exhaustive search of entire codebase confirms ZERO usage of broken algorithms: ❌ MD4: Not present ❌ MD5: Not present ❌ SHA-1: Not present ❌ Single DES: Not present ❌ RC4: Not present ❌ Dual_EC_DRBG: Not present Only secure algorithms used: ✅ SHA-256 (256-bit): Used for audit tamper detection (audit.go line 19). Secure until 2050+ per NIST guidance. ✅ TLS 1.2+: Go's crypto/tls default configuration uses only secure cipher suites (AES-128/256-GCM, ChaCha20-Poly1305) ✅ Authenticated encryption modes only (GCM, ChaCha20-Poly1305) No inappropriate cipher modes: ECB (Electronic Codebook): Not used ✅ Unauthenticated CBC: Not used ✅ All TLS cipher suites use authenticated encryption (AEAD) ✅ Verification command: No interoperable protocol exceptions required: Argus does not implement any legacy protocols requiring broken algorithms. All cryptography uses modern, secure standards. Code evidence: Only cryptographic import in entire codebase is crypto/sha256 (audit.go:19). Go's stdlib TLS implementation automatically excludes broken algorithms and inappropriate modes.



    Les mécanismes de sécurité par défaut dans le logiciel produit par le projet NE DEVRAIENT PAS dépendre d'algorithmes ou de modes cryptographiques avec des faiblesses sérieuses connues (par exemple, l'algorithme de hachage cryptographique SHA-1 ou le mode CBC en SSH). [crypto_weaknesses]
    Les préoccupations concernant le mode CBC en SSH sont discutées dans CERT : vulnérabilité SSH CBC.

    The default security mechanisms in Argus do NOT depend on cryptographic algorithms or modes with known serious weaknesses: SHA-256 instead of SHA-1: Uses crypto/sha256 for audit tamper detection (audit.go) SHA-1 is NOT used anywhere in the codebase (verified by exhaustive search) SHA-256 has no known practical weaknesses and is recommended by NIST through 2050+ GCM/ChaCha20-Poly1305 instead of CBC: Go's crypto/tls (Go 1.18+) automatically uses only AEAD cipher suites Default cipher suites: AES-128-GCM, AES-256-GCM, ChaCha20-Poly1305 CBC mode is NOT used (verified: no CBC references in codebase) This prevents padding oracle, BEAST, and Lucky13 attacks Complete verification: Modern security standards: All algorithms used are current NIST recommendations No deprecated or weakened algorithms present Go standard library automatically enforces secure defaults TLS 1.2+ only (TLS 1.0/1.1 rejected by default) Evidence in documentation: Changelog v1.0.0: "Enterprise-grade audit system with SHA-256 cryptographic checksums" Changelog v1.0.2: "SHA-256 checksums for configuration integrity verification" Explicitly documents use of SHA-256, not SHA-1 No algorithms or modes with known serious weaknesses are used. The project follows current cryptographic best practices and uses only modern, secure algorithms approved by NIST and cryptographic experts.



    Les mécanismes de sécurité dans le logiciel produit par le projet DEVRAIENT implémenter la confidentialité persistante pour les protocoles d'échange de clés afin qu'une clé de session dérivée d'un ensemble de clés à long terme ne soit pas compromise si l'une des clés à long terme est compromise dans le futur. [crypto_pfs]

    The security mechanisms in Argus implement Perfect Forward Secrecy (PFS) for key agreement protocols: TLS/HTTPS for remote configuration: Argus supports HTTPS endpoints for remote configuration loading (remote_config.go lines 18, 50). All TLS connections use Go's crypto/tls standard library. Go crypto/tls default PFS implementation: TLS 1.3 (preferred): ALL cipher suites in TLS 1.3 provide PFS by design using ephemeral keys TLS 1.2 (fallback): Go's default cipher suites prioritize ECDHE (Elliptic Curve Diffie-Hellman Ephemeral), which provides PFS Default cipher suites: TLS_ECDHE_RSA_WITH_AES_128_GCM_SHA256, TLS_ECDHE_ECDSA_WITH_AES_128_GCM_SHA256, etc. No custom TLS configuration: Argus does NOT override Go's secure TLS defaults. Code verification confirms zero custom CipherSuites configuration, ensuring Go's PFS-enabled defaults are always active. PFS protection mechanism: Each TLS session uses unique ephemeral keys generated via ECDHE Session keys are destroyed after disconnection Compromise of long-term server private key does NOT compromise past session keys Retroactive decryption of captured traffic is prevented Cipher suites without PFS are disabled: Go's crypto/tls automatically excludes non-ephemeral key exchange methods (e.g., plain RSA key exchange) from default configuration. Evidence: Remote configuration supports HTTPS (remote_config.go) Go crypto/tls documentation confirms PFS in default cipher suites No code disables or weakens PFS (verified by grep for custom TLS configurations) TLS 1.2 minimum version ensures ECDHE support TLS 1.3 preference ensures mandatory PFS Perfect Forward Secrecy is fully implemented through Go's secure TLS defaults.



    Si le logiciel produit par le projet entraîne la sauvegarde de mots de passe pour l'authentification d'utilisateurs externes, les mots de passe DOIVENT être sauvegardés comme hachages itérés avec un salage par utilisateur en utilisant un algorithme d'étirement de clé (itéré) (par exemple Argon2id, Bcrypt, Scrypt, ou PBKDF2). Voir également le pense-bête sur le stockage des clés d'OWASP. [crypto_password_storage]
    Ce critère s'applique uniquement lorsque le logiciel applique l'authentification des utilisateurs utilisant des mots de passe pour les utilisateurs extérieurs (càd l'authentification entrante), telles que des applications Web côté serveur. Il ne s'applique pas dans les cas où le logiciel sauvegarde des mots de passe pour l'authentification dans d'autres systèmes (càd l'authentification sortante, par exemple, le logiciel implémente un client pour un autre système), car au moins certaines parties de ce logiciel doivent avoir souvent accès au mot de passe en clair.


    Les mécanismes de sécurité dans le logiciel produit par le projet DOIVENT générer toutes les clés cryptographiques et les nonces en utilisant un générateur de nombres aléatoires cryptographiquement sécurisé, et NE DOIVENT PAS le faire en utilisant des générateurs qui ne seraient pas cryptographiquement sécurisés. [crypto_random]
    Un générateur de nombres aléatoires cryptographiquement sécurisé peut être un générateur de nombres aléatoires matériel ou un générateur de nombres pseudo-aléatoires cryptographiquement sécurisé (CSPRNG) utilisant un algorithme tel que Hash_DRBG, HMAC_DRBG, CTR_DRBG, Yarrow ou Fortuna. Des exemples d'appels de générateurs de nombres aléatoires sûrs incluent java.security.SecureRandom en Java et window.crypto.getRandomValues ​​de JavaScript. Des exemples d'appels de générateurs de nombres aléatoires non sûrs incluent java.util.Random en Java et Math.random en JavaScript.

    The security mechanisms in Argus generate all cryptographic keys and nonces using cryptographically secure random number generators: No direct key/nonce generation: Exhaustive code search confirms Argus does NOT directly generate cryptographic keys, nonces, tokens, or UUIDs: Zero imports of crypto/rand or math/rand Zero calls to rand.* functions Zero key generation functions Occurrences of "token" in code are only error message strings, not token generation Indirect cryptographic randomness via Go crypto/tls: When Argus uses HTTPS for remote configuration, Go's standard library crypto/tls automatically generates: TLS session keys Nonce values for cipher suites Ephemeral keys for ECDHE (Perfect Forward Secrecy) All of these use crypto/rand, which is cryptographically secure. crypto/rand is cryptographically secure: Linux/Unix: Uses /dev/urandom (kernel CSPRNG) Windows: Uses CryptGenRandom() API Modern systems: Uses getrandom() or getentropy() syscalls Recommended by NIST SP 800-90A/B/C Passes FIPS 140-2 requirements No insecure generators used: math/rand: Not present ✅ Time-based seeds: Not used ✅ Predictable generators: Not used ✅ Verification: Conclusion: Argus does not directly generate cryptographic keys or nonces. When cryptographic randomness is required (TLS session keys), it is provided by Go's crypto/tls which uses the cryptographically secure crypto/rand package. No insecure random number generators are used anywhere in the codebase.


  • Livraison sécurisée contre les attaques man-in-the-middle (MITM)


    Le projet DOIT utiliser un mécanisme de livraison qui contrecarre les attaques MITM. L'utilisation de https ou ssh+scp est acceptable. [delivery_mitm]
    Un mécanisme encore plus fort distribue le logiciel sous forme de paquetages signés numériquement, car cela atténue les attaques sur le système de distribution, mais cela ne fonctionne que si les utilisateurs peuvent être convaincus que les clés publiques pour les signatures sont correctes et si les utilisateurs vérifient la signature.

    Argus uses secure delivery mechanisms that counter MITM attacks through multiple layers of protection: HTTPS for repository access: Repository URL: https://github.com/agilira/argus.git GitHub enforces TLS 1.2+ with modern cipher suites All git clone/pull operations use HTTPS HTTPS for Go module downloads: Installation command: go get github.com/agilira/argus Go module proxy: https://proxy.golang.org (HTTPS mandatory) Checksum verification: https://sum.golang.org (cryptographic verification) Double protection: TLS encryption + checksum verification HTTPS for binary releases: GitHub Releases serve binaries exclusively over HTTPS TLS 1.2+ encryption protects downloads from interception All release assets accessible only via HTTPS URLs Additional integrity verification (beyond MITM protection): SHA256 checksums: Generated for all release binaries (release.yml:47-49) Build provenance attestations: Cryptographically signed build metadata (release.yml:51-54) SBOM attestations: Software Bill of Materials for supply chain verification (release.yml:62-66) Verification command: gh attestation verify ./argus-* --owner agilira No insecure delivery mechanisms: HTTP (unencrypted): Not used ✅ FTP: Not used ✅ Unverified downloads: Not used ✅ Multiple verification methods: Transport security: TLS 1.2+ (HTTPS) Integrity: SHA256 checksums Authenticity: GitHub attestations Supply chain: SBOM verification Argus exceeds the minimum requirement by providing not only HTTPS but also cryptographic attestations and checksums for end-to-end verification.



    Un hachage cryptographique (par exemple, un sha1sum) NE DOIT PAS être récupéré par http et utilisé sans vérifier une signature cryptographique. [delivery_unsigned]
    Ces hachages peuvent être modifiés en transit.

  • Vulnérabilités publiquement identifiées et corrigées


    Il ne DOIT pas y avoir de vulnérabilités non corrigées de gravité moyenne ou supérieure connues publiquement depuis plus de 60 jours. [vulnerabilities_fixed_60_days]
    La vulnérabilité doit être corrigée et diffusée par le projet lui-même (les correctifs peuvent être développés ailleurs). Une vulnérabilité devient publique (à cet effet) une fois qu'elle a un CVE avec des informations non payantes publiquement publiées (signalée, par exemple, dans la Base de données Nationale des Vulnérabilités) ou lorsque le projet a été informé et que l'information a été diffusée au public (éventuellement par le projet). Une vulnérabilité est considérée de gravité moyenne ou supérieure si son score de base qualitatif du Système Commun d'Évaluation des Vulnérabilités (CVSS) est moyen ou supérieur. Dans les versions CVSS 2.0 à 3.1, cela équivaut à un score CVSS de 4.0 ou supérieur. Les projets peuvent utiliser le score CVSS publié dans une base de données de vulnérabilité largement utilisée (telle que la base de données nationale des vulnérabilités) en utilisant la version la plus récente de CVSS rapportée dans cette base de données. Les projets peuvent aussi calculer eux-mêmes la gravité à l'aide de la dernière version de CVSS au moment de la divulgation de la vulnérabilité, si les entrées de calcul sont révélées publiquement une fois que la vulnérabilité est connue du public.Note : cela signifie que les utilisateurs peuvent être laissés vulnérables à tous les attaquants du monde entier jusqu'à 60 jours. Ce critère est souvent beaucoup plus facile à atteindre que ce que Google recommande dans son Redémarrage de la divulgation responsable, car Google recommande que la période de 60 jours commence lorsque le projet est notifié même si le rapport n'est pas public. Notez que ce critère de badge, comme d'autres critères, s'applique à un projet individuel. Certains projets font parti d'organisations ou de projets englobants, parfois à plusieurs niveaux, et de nombreux projets fournissent leurs résultats à d'autres organisations et projets au sein d'une chaîne approvisionnement potentiellement complexe. Un projet individuel ne peut souvent pas contrôler le reste, mais un projet individuel peut travailler à fournir un correctif de vulnérabilité à temps. Pour cette raison, nous nous concentrons seulement sur le temps de réponse des projets individuels. Une fois qu'un correctif est disponible de la part d'un projet individuel, les autres projets peuvent déterminer comment appliquer le correctif (par exemple, ils peuvent mettre à jour la dernière version ou ils peuvent appliquer uniquement le correctif).


    Les projets DEVRAIENT corriger rapidement toutes les vulnérabilités critiques après leur signalement. [vulnerabilities_critical_fixed]

  • Autres problèmes de sécurité


    Les dépôts publics NE DOIVENT PAS fuiter un certificat privé valide (par exemple, un mot de passe ou une clé privée) qui est destiné à limiter l'accès public. [no_leaked_credentials]
    Un projet PEUT fuiter des « échantillons » de certificats pour les tests et pour des bases de données sans importance, pour autant qu'ils ne soient pas destinés à limiter l'accès public.

    The public repository does NOT leak any valid private credentials: Exhaustive credential search performed: Searched for: passwords, API keys, private keys, tokens, connection strings Result: Zero valid credentials found ✅ Only safe placeholder values exist: cmd/cli/utils.go:133: "password": "changeme" - Template generator function with obvious placeholder env_config_test.go:476: "Bearer token" - Unit test with literal string "token" for testing header parsing Both are intentional, documented placeholders, not working credentials .gitignore properly configured: Blocks .env and variants Blocks private keys (.pem, *.key, *.crt) Blocks files containing secret or private in filename Blocks local configuration files (config.local.) No credential files present: Zero .env files Zero secret or private files Zero certificate/key files No connection strings with embedded credentials Git history verification: Checked entire git history for sensitive files No evidence of previously committed credentials (even if later removed) Best practices followed: Template passwords use obvious placeholders ("changeme") Test credentials use literal non-functional values ("token") Sensitive files excluded via .gitignore No hardcoded credentials in production code Verification commands run: Conclusion: The repository is clean and does not contain any valid private credentials that could limit public access.


 Analyse 8/8

  • Analyse statique de code


    Au moins un outil d'analyse statique de code (au-delà des avertissements du compilateur et des modes « sûrs » des languages) DOIT être appliqué à toute distribution majeure proposée avant sa sortie s'il existe au moins un outil FLOSS qui implémente ce critère dans le langage sélectionné. [static_analysis]
    Un outil d'analyse statique de code examine le code logiciel (au niveau du code source, du code intermédiaire ou de l'exécutable) sans l'exécuter avec des entrées spécifiques. Aux fins de ce critère, les avertissements du compilateur et les modes de langage « sûrs » ne comptent pas comme des outils d'analyse statique de code (ceux-ci évitent généralement une analyse approfondie car la rapidité est vitale). Certains outils d'analyse statique se concentrent sur la détection de défauts génériques, d'autres se concentrent sur la détection de défauts spécifiques (tels que les vulnérabilités) et d'autres encore proposent une combinaison de ces deux types d'outils. Des exemples de tels outils d'analyse statique de code incluent cppcheck (C, C++), clang static analyzer (C, C++), SpotBugs (Java), FindBugs (Java) (y compris FindSecurityBugs), PMD (Java), Brakeman (Ruby on Rails), lintr (R), goodpractice (R), Coverity Quality Analyzer, SonarQube, Codacy et HP Enterprise Fortify Static Code Analyzer. Des listes plus vastes d'outils peuvent être trouvées dans des endroits tels que la liste Wikipedia d'outils pour l'analyse statique de code, l'information OWASP sur l'analyse statique de code, la liste NIST des analyseurs de sécurité du code source et la liste des outils d'analyse statique de Wheeler. S'il n'y a pas d'outil d'analyse statique FLOSS disponible pour le(s) langage(s) d'implémentation utilisé(s), sélectionnez « N/A ».

    fmt, vet, staticcheck, errcheck, gosec, govulcheck



    Il est PROPOSÉ qu'au moins l'un des outils d'analyse statique utilisés pour le critère d'analyse statique inclue des règles ou des approches pour rechercher des vulnérabilités courantes dans le langage ou l'environnement analysé. [static_analysis_common_vulnerabilities]
    Les outils d'analyse statique spécialement conçus pour détecter les vulnérabilités les plus courantes sont plus susceptibles de les détecter. Cela dit, l'utilisation d'outils statiques aidera généralement à trouver des problèmes, nous suggérons donc, sans l'exiger, de le faire pour le badge de niveau « passant ».


    Toutes les vulnérabilités exploitables de gravité moyenne ou plus découvertes avec une analyse statique de code DOIVENT être corrigées en temps approprié après leur confirmation. [static_analysis_fixed]
    Une vulnérabilité est considérée comme étant de gravité moyenne ou supérieure si son score qualitatif de base du Système Commun d'Évaluation des Vulnérabilités (CVSS) est moyen ou supérieur. Dans les versions CVSS 2.0 à 3.1, cela équivaut à un score CVSS de 4.0 ou supérieur. Les projets peuvent utiliser le score CVSS publié dans une base de données de vulnérabilité largement utilisée (telle que la base de données nationale des vulnérabilités) en utilisant la version la plus récente de CVSS rapportée dans cette base de données. Les projets peuvent aussi calculer eux-mêmes la gravité à l'aide de la dernière version de CVSS au moment de la divulgation de la vulnérabilité, si les entrées de calcul sont révélées publiquement une fois que la vulnérabilité est connue du public. Remarquez que le critère vulnerabilities_fixed_60_days nécessite que de telles vulnérabilités soient corrigées dans les 60 jours de leur divulgation publique.


    Il est PROPOSÉ que l'analyse statique du code source se produise à chaque commit ou au moins quotidiennement. [static_analysis_often]

  • Analyse dynamique de code


    Il est PROPOSÉ qu'au moins un outil d'analyse dynamique soit appliqué à tout candidat pour une version majeure du logiciel avant sa distribution. [dynamic_analysis]
    Un outil d'analyse dynamique examine le logiciel en l'exécutant avec des entrées spécifiques. Par exemple, le projet PEUT utiliser un outil de fuzzing (par exemple, American Fuzzy Lop) ou un scanner d'application Web (par exemple, OWASP ZAP ou w3af). Dans certains cas, le projet OSS-Fuzz peut être prêt à appliquer des tests de fuzzing à votre projet. Aux fins de ce critère, l'outil d'analyse dynamique doit varier les entrées d'une manière ou d'une autre pour rechercher différents types de problèmes ou être une suite de test automatisée avec au moins 80% de couverture de branche. La page Wikipedia sur l'analyse dynamique et la page OWASP sur le fuzzing identifient certains outils d'analyse dynamique. Le ou les outils d'analyse PEUVENT être axés sur la recherche de vulnérabilités de sécurité, mais cela n'est pas nécessaire.

    Il est PROPOSÉ que, si le logiciel produit par le projet comprend un logiciel écrit à l'aide d'un langage non sûr pour les accès mémoire (par exemple, C ou C ++), au moins un outil dynamique (par exemple, un fuzzer ou un scanner d'application Web) soit utilisé de façon routinière en combinaison avec un mécanisme pour détecter des problèmes de sécurité mémoire tels que les dépassements de zone mémoire. Si le projet ne produit pas de logiciel écrit dans un langage non sûr pour les accès mémoire, choisissez « non applicable » (N/A). [dynamic_analysis_unsafe]
    Des exemples de mécanismes pour détecter les problèmes de sécurité de la mémoire comprennent Address Sanitizer (ASAN) (disponible dans GCC et LLVM), Memory Sanitizer et valgrind. D'autres outils potentiellement utilisés incluent thread sanitizer et undefined behavior sanitizer. La généralisation de l'utilisation des assertions fonctionnera également.

    Argus includes software written in a memory-unsafe language (C via go-sqlite3 dependency) and routinely uses multiple dynamic tools to detect memory safety problems: Memory-unsafe code present: Dependency: github.com/mattn/go-sqlite3 v1.14.32 SQLite is written in C (memory-unsafe language) Requires CGO_ENABLED=1 (confirmed in .github/workflows/ci.yml:10) Fuzzing (Go Native Fuzzer) - Dynamic Tool #1: Dedicated file: argus_fuzz_test.go (708 lines) Two comprehensive fuzz functions: FuzzValidateSecurePath - Tests path validation for buffer overflows, null byte injection, control characters FuzzParseConfig - Tests all configuration parsers for crashes and memory issues Routine execution: CI pipeline + Makefile commands (make fuzz, make fuzz-long) Memory safety focus: Detects buffer overflows, format string bugs, parser crashes Race Detector - Dynamic Tool #2: Automatically runs in CI: go test -race -timeout 5m -v ./... (ci.yml:52-53) Detects: Data races, use-after-free, concurrent memory corruption, CGO memory safety issues Routine execution: Every CI run on push/PR Routine testing confirmed: CI workflow runs both tools automatically on every commit Makefile provides convenient commands for manual testing README documents fuzzing: "Fuzz Tested: Comprehensive fuzzing for ValidateSecurePath and ParseConfig edge cases" Memory safety mechanisms: Fuzzing with 100+ seed cases including attack vectors Race detection on entire codebase Security scanning with gosec All tools run routinely (not ad-hoc) Evidence: Fuzzing: argus_fuzz_test.go lines 1-708 Race detector: .github/workflows/ci.yml lines 52-53 CGO usage: go.mod line 12, .github/workflows/ci.yml line 10 Routine execution: CI workflow + Makefile integration Argus exceeds the SUGGESTED requirement by using multiple complementary dynamic tools routinely



    Il est PROPOSÉ que le projet utilise une configuration pour au moins une analyse dynamique (comme le test ou le fuzzing) qui active de nombreuses assertions. Dans de nombreux cas, ces assertions ne doivent pas être activées dans les versions de production. [dynamic_analysis_enable_assertions]
    Ce critère ne suggère pas d'activer les assertions en production ; c'est entièrement au projet et à ses utilisateurs de le décider. L'objectif de ce critère est plutôt d'améliorer la détection des défauts lors de l'analyse dynamique avant le déploiement. L'activation des assertions en production est complètement différente de l'activation des assertions pendant l'analyse dynamique (comme les tests). Dans certains cas, il est extrêmement imprudent d'activer les assertions en production (en particulier dans les composants à haute intégrité). Il existe de nombreux arguments contre l'activation des assertions en production, par exemple, les bibliothèques ne devraient pas faire échouer les appelants, leur présence peut provoquer le rejet par les magasins d'applications et/ou l'activation d'une assertion en production peut exposer des données privées telles que des clés privées. Attention, dans de nombreuses distributions Linux, NDEBUG n'est pas défini, donc assert() sera activé par défaut en C/C++ pour la production dans ces environnements. Il peut être important d'utiliser un mécanisme d'assertion différent ou de définir NDEBUG pour la production dans ces environnements.

    Toutes les vulnérabilités exploitables de gravité moyenne ou plus découvertes avec une analyse de code dynamique DOIVENT être corrigées en un temps approprié après leur confirmation. [dynamic_analysis_fixed]
    Si vous n'utilisez pas d'analyse de code dynamique et n'avez donc trouvé aucune vulnérabilité de cette manière, choisissez « non applicable » (N/A). Une vulnérabilité est considérée comme étant de gravité moyenne ou supérieure si son score qualitatif de base du Système Commun d'Évaluation des Vulnérabilités (CVSS) est moyen ou supérieur. Dans les versions CVSS 2.0 à 3.1, cela équivaut à un score CVSS de 4.0 ou supérieur. Les projets peuvent utiliser le score CVSS publié dans une base de données de vulnérabilité largement utilisée (telle que la base de données nationale des vulnérabilités) en utilisant la version la plus récente de CVSS rapportée dans cette base de données. Les projets peuvent aussi calculer eux-mêmes la gravité à l'aide de la dernière version de CVSS au moment de la divulgation de la vulnérabilité, si les entrées de calcul sont révélées publiquement une fois que la vulnérabilité est connue du public.


This data is available under the Community Data License Agreement – Permissive, Version 2.0 (CDLA-Permissive-2.0). This means that a Data Recipient may share the Data, with or without modifications, so long as the Data Recipient makes available the text of this agreement with the shared Data. Please credit A. Giordano and the OpenSSF Best Practices badge contributors.

Soumission du badge du projet appartenant à : A. Giordano.
Soumission créée le 2025-10-07 17:24:11 UTC, dernière mise à jour le 2025-10-07 18:38:35 UTC. Le dernier badge obtenu l'a été le 2025-10-07 18:38:35 UTC.

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